On ne s’en lasse pas : Vous êtes responsable de la santé de votre chien. La lettre
d'amour de chien vous fournit toute l'information que vous devez accomplir cette
responsabilité impressionnante. Je vous donnerai les faits sur les aliments pour chiens
commerciaux et les étapes simples en choisissant des aliments pour chiens sains. En
outre, vous vous renseignerez sur l'empêchement et les remèdes alimentaires pour la
dysplasie de hanche, l'épilepsie, les cataractes, l'arthrite, la myélopathie
dégénérative, et beaucoup plus. Juste comme les familles sont sujettes aux problèmes
de santé spécifiques, chaque race de chien est prédisposée à certains problèmes de
santé et de comportement. Je vous fournirai l'information fiable sur la santé et les
problèmes de comportement votre race est sujet à, et les mesures préventives que vous
pouvez prendre pour maintenir votre chien sain et heureux. Votre chien fonctionne-t-il
dans la direction opposée quand vous l'appelez? Est-elle terminée agressive ou timide,
ou y a-t-il d'autres problèmes de comportement qui vous apportent à la fin de vos
esprits? Votre chien peut être confondu au sujet de ce que vous voulez ou de qui est le
patron. La lettre d'amour de chien vous enseignera à penser comme un chien! Je parle
également des facteurs alimentaires et environnementaux qui peuvent poser des problèmes
de comportement.
Pendant que les autres sont dans la cour et piaillent
(« s’amusent »), elle reste dans le couloir, étrangement seule.
Les coups de patin.
Philippe : Devil y est.
Les chèques scolaires.
Douze femmes : isthme.
J’avais déjà évoqué cette étonnante expérience qui consiste à entrer, circuler
(impunément) dans des bâtiments administratifs où, en temps ordinaire (quand on
n’est pas initié), on ne songerait même pas oser pénétrer. Ce jour
(mercredi) en avance d’une heure sur un rendez-vous (voyager en train permet de
ménager ces moments de vacance), je pousse une porte supposément close, qui cède,
grimpe un étage, trouve la porte des Toilettes (l’écriteau est énorme, quiconque
s’y dirige se sent dénoncé — toilettes, petites toiles) et là,
ravissement : une sorte de hall immense (une pièce entière, et qui ne sert à rien)
distribue sur 4 minuscules cabinets (minuscules vraiment : lorsque l’on est dedans,
il est difficile de refermer la porte, coincé qu’on est entre cuvette et battant)
aux murs couverts de minuscules creux (1 x 1) vert pâle. J’y fais ce qu’on
avait prévu puis jouis longuement de la salle de bain, oui, avec bidet, attenante. Se
laver les mains, tranquillement, les essuyer soigneusement (toutes choses impossibles sans
adverbes), nettoyer mes lunettes, rectifier (vérifier) ma mise (j’ai un polo à
petit col sous un pull, c’est toujours délicat : il ne faut pas que le col passe par
dessus — ça fait cucul —, il faut que les deux côtés du col
apparaissent discrètement, et symétriquement [je déteste le mot « polo »]
tandis que, dehors, il pleut. Je me dis que si un jour je deviens SDF, je profiterai de
cette connaissance des lieux. Ville que je ne connais guère, que je ne visiterai pas,
à cause de la pluie, où simplement j’aurai erré longuement dans un centre
commercial profitant de ce moment pour effectuer quelques
emplettes — pourquoi pas? Me voici donc avec, dans le sac, parmi les document,
les dossiers, une planche de décalcomanies, un album à colorier, une peluche (je
n’ai — pour ceux que cela intéresse — pas
d’enfant[s], ni à venir; c'est donc bien pire), des cassettes vidéo, des bâtonnets
nutritifs pour les plantes « à fleurs ». J’ai « mangé », bu
un verre de vin blanc, acheté puis lu une revue, regardé passer les gens. Les gens dans
cette ville ont l’air gentils. Même les lascars sont plus civils. Curieux. J’ai
regardé des cartes postales, mais la boutique ne vendait pas de timbres. C’est
idiot. L’accorte vendeuse, maigre, échevelée, pull rouge trop grand m’expliqua
que seuls les « tabacs » ont le droit de vendre des timbres. Alors j’ai
reposé le message destiné à ma mie. J’ai fait bien d’autres choses
minuscules. Observé un bambin antipathique malmener sa grand-mère (verbalement,
s’entend), agacé qu’il était qu’elle ne connaisse ni ne comprenne ni ne
devine les préoccupations d’un gamin de cet âge. Elle faisait des efforts pourtant.
Pathétique, indécrotablement affable, inévitablement « à côté de la
plaque ». Les enfants d’aujourd’hui semblent exigeants et impatients.
Au bout : l’eau. Aux boules : oh!
Boue : daim
hop (homme).
Aux boudins certains taons.
La mouche du coach (humour RH).
Le coup des pets dans l’eau.
Je ne sais pas si le peintre Masson a un jour réalisé un tableau s’intitulant
« Paix ». J’espère.
Poids : son chat.
Lent, pire
contrat :
tac!
Chat : peau pointue.
Le Pape, y fait de la résistance.
L’âme : un, deux masseurs
dans lac
hulotte du zoo (hâve).
110 cernes : m’man.
Peau lait mit
le vit que tord.
Gang Bang : Paule et 1000 Victor.
Paul-Emile Victor (Polémique : Vil tort).
Paul aime : il vit (queues tord).
Pot : les milles vies quittent hors.
Dans le bus (avec le brouhaha), j’entends, je crois entendre cette chanson :
« la groupie du caniche » — ou « la groupie du calife ».
Un homme a été tué à coups de téléphone portable. C’est sans doute ce que
l’on appelle « le mobile du crime ».
(Mon état empire. Je ne peux — ni ne veux —
employer les termes précis qui pourraient permettre de décrire (à défaut
d’expliquer) la « situation » telle qu’elle se présente;
d’abord pour des raisons que la prudence excuse — mais aussi parce que
ces faits, même s’ils étaient explicitement, nommément désignés, ne sont après
tout que « simplement » symptomatiques; symboliques de difficultés bien plus
graves, difficultés qu’il me serait pénible aujourd’hui d’affronter à
découvert. Ainsi : de quoi essayons-nous de nous « sauver »? Et comment
savoir si les moyens mis en œuvre n’aggravent pas notre situation? (élaborer un
diagnostic sans sombrer dans le cliché — ou pis : dans le ridicule?). Je sais, je
crois savoir pouvoir à n’importe quel moment, recouvrer les capacités qui
aujourd’hui me font, semble-t-il, défaut. Simple exercice de la volonté (me
persuadè-je en faisant l’économie de vérifier, même un petit peu, même
momentanément, la validité (viabilité) de cette idée (assertion)).
